Entre théâtre et concert, ce second biopic nous plonge avec élégance dans les années pop, les années anglaises de Serge Gainsbourg. Il est « in ». On est « out » !
Nouveau lever de rideau sur la vie de l’homme à la tête de chou. Après les années jazz, l’équipe des Musiciens Associés consacre ce second volet aux années anglaises de Serge Gainsbourg, de 1964 à 1969. À cette époque, ce sont les femmes qui le font vivre. Son travail artistique et ses relations personnelles s’entremêlent. Il écrit pour France Gall, Brigitte Bardot, Jane Birkin. Elles seront ses muses dans une période qui n’est pas encore sa plus flamboyante. Gainsbourg s’installe à Londres où il enregistre les albums Percussions, Initials BB, Jane Birkin et Serge Gainsbourg. Écrit par Jean-François Brieu, ce tour de chant d’un genre nouveau est d’une rare élégance. Dans une scénographie de lumières et d’images vidéo, le comédien-chanteur Ivan Gouillon, de sa voix chaude et assurée, évoque Gainsbourg, relate avec finesse détails et anecdotes. Il est accompagné d’un quartet chevronné, dont la pianiste Marie Gottrand qui le relance en paroles comme en chant, se muant, sans imitation, en Bardot ou Birkin. On est à la fois dans l’intime et le puissant, le chic et le sobre. À l’image de Gainsbourg auquel ce « Club des Cinq » rend un bel hommage.
Une itinérance à la frontière des musiques classiques et populaires, là où les compositeurs s’inspirent de leurs propres racines pour faire naître l’esprit de la danse.
Au début des années 80 quatre jeunes de Glasgow s’exilent à Londres pour monter ce qu’ils appelaient à l’époque "Un groupe qui composerait des chansons personnelles, empreintes d’émotion, dans le but de toucher les gens".
Pour beaucoup, les premières années de « La Cafetera Roja », c’était « L’auberge espagnole », le film de Klapisch sorti en 2002. Un collectif hip hop, rock festif, bêtes de scène, bouffeurs de planches, créateurs d’un Eurorap vitaminé.
La puissance du rock, l’efficacité de la pop, des productions empruntées à l’ électro et aux musiques urbaines : Telegraph est sans conteste l’un des groupes les plus prometteurs en France aujourd'hui.
25 ans que Sergent Garcia fait se déhancher irrésistiblement l’Europe et l’Amérique du Nord au Sud. Le terme « salsamuffin » qu’il a instigué condense la fusion entre la rumba, le ska, le reggae, le dancehall et les rythmes latins et afro caribéens.
En sept années d'existence, THE CELTIC SOCIAL CLUB a réussi à imposer un son, un style et un nom. Sillonnant scènes, festivals et continents, les sept franco irlandais continuent d'affiner leur relecture de la tradition des musiques celtes.
Concert « Rose des vents » par l’ensemble Post Tenebras flûtes Orchestra (tous publics), 18 flûtistes professionnels, avec la participation des élèves flûtistes du Chablais. Autour des œuvres de Vivaldi, Astor Piazzolla, Philip Glass et Max Richter.
Les meilleures formations du Conservatoire interprètent un programme de haute volée, autour de W. Purcell, J. Williams, C. Saint-Saëns, I. Albeniz,, P. Glass.
Concert d'orgue, autour du « clavier bien tempéré » de J.S. Bach par Jean-François Vaucher. Organisé par l'association Agonda, à l'occasion de la sortie du coffret de CD de l'intégrale de cette œuvre enregistrée sur les Grandes Orgues d'Evian.
Rassemblement de 70 élèves trombonistes de toute la Haute-Savoie sous la houlette de leurs professeurs, en prélude de cette année olympique. Création pour Quatuor de trombones « Rhapsodie Cinématographique »
