Chapelle rurale dédiée à Notre-Dame-des-Neiges. Elle a été fondée en 1686 par le Révérend François Fontaine, curé de Saint-Nicolasde-Véroce et originaire des Ranziers. C’est un édifice qui demande à être restauré.
La chapelle de Gravin a été érigée en 1689 par les habitants du village. Si toutes les chapelles de Magland étaient desservies par le clergé paroissial, la chapelle de Gravin a eu son propre chapelain.
La chapelle d’Oex, la plus ancienne chapelle de la commune, est dédiée à Saint-Bernard-de-Menthon. C’est une chapelle rurale construite en 1680 et agrandie en 1842.
Dédiée à la mère du Christ, cette chapelle a été édifiée grâce aux frères Catherin et Claude François Gradel en 1688. Elle a été restaurée à la fin du XXè siècle grâce au travail de nombreux bénévoles.
La chapelle de Gravin a été érigée en 1689 par les habitants du village. Si toutes les chapelles de Magland étaient desservies par le clergé paroissial, la chapelle de Gravin a eu son propre chapelain.
Située à 1150 mètres, la chapelle du hameau de la Colonnaz a été construite en 1704, à l’initiative des époux Michel Colonnaz.
La construction de cette chapelle a été entreprise en 1739, à l’initiative des habitants de Chessin. Aliénée à la Révolution française, elle a été rachetée par ces mêmes habitants en 1835.
La chapelle a été fondée en 1756 par les habitants des villages de Chamonix et de Barey. L’architecture reste très proche des constructions précédentes.
L’oratoire de Saxel a été fondé en 1785 par le colporteur Marin Joseph Fontaine. Il appartient toujours à l’association des habitants de Saxel.
La chapelle de la Tour noire daterait de 1849, probablement fondée par les habitants du hameau pour se placer sous la protection de Saint-Bernard, invoqué contre les dégâts des eaux. Elle a été restaurée en 1997.
La station de sports d’hiver de Flaine, ouverte en 1967, possède une chapelle à l’architecture originale. Elle est classée, avec son mobilier, Monument Historique depuis 2014.
L’oratoire, dit « Notre Dame des Chalets » a été construit dans l’alpage de Mont-Ferront en 1954 par un collectif d’habitants, qui continuent aujourd’hui d’habiter et entretenir des chalets autrefois dévolus à l’agropastoralisme.
